Un Californien ouvre un atelier d’entretien de vélos DIY à Londres. Vous apprendrez à entretenir correctement le vélo, à le démonter et à le reconstruire.
Jenni Gwiazdowski, une Californienne, serait Jenni. Elle a échangé les rivages plus ensoleillés de l’Amérique contre l’amour de sa vie à l’époque. Bien que les choses ne se soient pas déroulées comme prévu, elle aimait la culture et a décidé de rester.
Jenni a toujours été intéressée par le cyclisme et elle voulait relever un nouveau défi. Tout a commencé il y a un an, il y a un an et quart, en janvier 2011. Jenni démarre, j’avais pris ma résolution du Nouvel An d’apprendre à construire un vélo. J’avais un cadre vintage ClaudButler, mais je ne savais pas trop comment le construire ni quels outils utiliser. Tout était très nouveau pour moi.
Elle avait cherché des cours dans le sud de Londres et n’avait pas réussi. Mon colocataire m’a suggéré de chercher le Bike Kitchen. Il y en avait beaucoup dans le monde, mais aucun près de chez moi. Comme j’ai une formation en enseignement, c’était facile d’en commencer une.
Jenni a su être un peu naïve sur ce sujet, ce qui a joué en sa faveur. Elle n’a pas été distraite ni dérangée par les pièges de la création d’un atelier tel que Bike Kitchen. Elle a décidé d’y aller et maintenant, après un an, elle travaille à plein temps au London Bike Kitchen.
Jenni a pu faire fonctionner la cuisine grâce à ses économies personnelles et à une subvention de la London Cycling Campaign. Elle a également présenté un argumentaire courageux et convaincant au Dragon Den Style Funding Network.
London Bike Kitchen est convivial et accueillant. Il favorise une atmosphère détendue qui encourage l’apprentissage et l’enseignement d’une manière appropriée pour tous ceux qui entrent.
Jenni a déclaré que les hommes ont tendance à croire qu’ils peuvent le faire, mais parfois ils ne savent pas comment ni où chercher de l’aide. Vous devez les approcher comme si vous ne les aidiez pas. Les femmes ont tendance à croire qu’elles sont incapables de le faire parce que c’est un sport/intérêt dominé par les hommes.
Grâce à la diversité des cours, chacun bénéficie de conseils et d’un accompagnement adaptés. Jenni est l’une des quatre mécaniciennes qui enseignent, mais Jenni est désireuse d’apprendre et d’aider chaque fois qu’elle le peut. Le week-end a été annulé par un mécanicien, j’ai donc dû assister au cours. Le cours était bon, à part quelques questions.
Jenni rêve de posséder une flotte de vélos utilisables dans toutes les situations. Elle est actuellement équipée d’un vélo assis rétro rétro et d’un vélo de route. Comme nous au DC, elle adore les vêtements dans lesquels vous pouvez faire du vélo. Ceci est mis en évidence par le fait que son style sur le vélo est déterminé par la météo et le jour. Jenni est à l’aise en jeans, ou en jupe (même sur un vélo de route), et elle aime le vélo comme moyen de transport.
Le Style Cycliste De Jennis
Elle n’est pas fan des gilets haute visibilité. Au lieu de cela, elle préfère porter des couleurs élégantes et audacieuses pour se démarquer. Je porte souvent des chemises hawaïennes aux couleurs vives, un pull orange ou des chaussettes aux couleurs vives d’American Apparel.
Jenni est une personne formidable à qui parler de sa passion pour le cyclisme, la LBK et faire en sorte que les gens fassent du vélo. Quand elle vous parle des ateliers qu’elle a mis en place, c’est un brouillard enivrant d’enthousiasme qui l’entoure. Bien qu’on lui ait dit qu’il serait difficile de s’installer et de trouver de l’espace, elle a persévéré et a maintenant réalisé l’atelier qu’elle souhaitait.
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Le style Jennis comprend :
La chemise en flanelle du père de Jennis est, mais similaire ici.
Gore Bikewear a conçu la veste
L’inspiration pour le croquis que vous voyez ci-dessus est venue d’une excellente interview avec London Bike Kitchen sur le blog CycleLove.
